Déprogrammation de mémoire cellulaire transgénérationnelle

La déprogrammation de la mémoire cellulaire transgénérationnelle, et de la mémoire karmique constitue la part la plus importante d’un soin énergétique. Car ce sont dans les mémoires transgénérationnelles et karmiques que se trouvent les causes profondes du destin et des troubles de tous ordres.

I - Déprogrammation de mémoire cellulaire

Dans chaque soin que je réalise, je déprogramme toute la mémoire cellulaire toxique qu’il est possible de déprogrammer au moment où le soin est réalisé. La mémoire cellulaire est organisée en couches, un peu comme dans un millefeuille. Certaines couches ne peuvent pas être déprogrammées avant d’autres.

Comme je l’évoque ci-dessous, la mémoire cellulaire est la trame sur laquelle un individu s’est construit. La déprogrammation de mémoires cellulaires ne peut s’effectuer que progressivement par couche. Afin que l’individu sur laquelle elle est réalisée puisse intégrer progressivement le changement dans son corps physique, à sa personnalité et dans sa vie. En effet, si toute la mémoire cellulaire toxique était déprogrammée d’un seul coup, le corps physique n’y résisterait pas. Et même si il résistait, cela déstabiliserait énergétiquement, émotionnellement et psychiquement de façon brutale la personne qui subirait un tel traitement de choc. Le soin serait pire que le mal. Cela ne doit pas être !

De façon systématique, en plus de déprogrammer la mémoire cellulaire toxique, je traite également ses causes et ses effets toxiques. C’est à dire :

• Leurs causes karmiques
• Leurs conséquences énergétiques,…
• Leurs conséquences occultes (pactes noirs, magie noire, infiltration,…)
• Et éventuellement leurs géobiologiques (celles liés à l’habitat)

II - Mémoire cellulaire : définition

L’homme en incarnation est à la fois matière et esprit. D’une façon schématique, on peut dire que la mémoire cellulaire est un mélange de deux types de mémoire. La première à pour base la matière composant le corps physique d’un individu, c’est l’ADN et toutes les mémoires en lien direct avec l’ADN. La seconde a pour base l’esprit, c’est à dire à la partie « non-matérielle » de l’humain.

Les mémoires transgénérationnelles

1. - L’ADN

La matière, la chair dont est composée un individu est déterminée par son ADN. Dans cet ADN sont codées toutes les caractéristiques physiques et en partie psycho-émotionnelles d’un individu en incarnation. Ces caractéristiques sont héritées de son duo parental. Dans l’ADN sont codées une multitude de particularités, les points de forces et de faiblesses, les manques et les excès hérités du lignage.

2. - Mémoires associées à l’ADN

L’ADN a une base matérielle. Il est quelque chose de scientifiquement démontrable et quantifiable. Mais sur cet ADN viennent également se greffer un réseau de mémoires « énergétiques », c’est à dire non quantifiables scientifiquement. Bien qu’«  énergétiques » ces mémoires ont pour base ou support le lignage « matériel », « physique » d’un individu. Ces mémoires vont coder ses tendances plus subtiles en lien avec les plans énergétique, émotionnel et psychique.

Toutes ces mémoires contiennent en germe l’histoire et le karma du corps de chair de l’individu en incarnation. Elles sont très liées à l’histoire d’un lignage. Ceci constitue la mémoire cellulaire transgénérationnelle de l’individu.

L’esprit, l’âme et les mémoires karmiques

Lorsque un être vient en incarnation, une partie de son esprit (ou monade) va descendre sous forme d’une âme afin d’habiter un corps de chair pour lui donner vie. Cette âme est le corps causal de l’individu en incarnation. Comme son nom l’indique le corps causal est le corps contenant toutes les causes qui vont produire le destin de l’individu qui s’incarne. Ces » causes » sont semblables à des mémoires. Elles sont en quelque sorte des mémoires karmiques qui vont définir et produire tout ce qui va constituer la vie de l’individu. Elles sont son karma, pour cette incarnation. Ces mémoires ont pour base l’âme de l’individu. Elles conditionnent des particularités énergétiques, émotionnelles, mentales, spirituelles,…

Résonance et corps causal

Ces mémoires issues du corps causal produisent une résonance extrêmement puissante sur toute la vie d’un être. C’est à dire qu’elles ont tendance à attirer à elles tout ce qui leur ressemble et à repousser ce qui est en opposition avec elles. Ce sont ces mémoires du corps causal qui vont définir pour une très large part la famille où va s’incarner une âme. Pour pouvoir accomplir son karma, autrement dit son destin ou mission de vie, une âme va devoir s’incarner dans une ethnie, un milieu socio-culturel, un lignage, une famille, un corps et un ADN particulier. C’est le corps causal qui définit au plus haut degré toutes les conditions de l’incarnation. C’est parce qu’une âme a besoin d’un certain ADN et d’un certain milieu pour liquider son karma et donc accomplir son destin qu’elle va choisir telle ou telle famille pour s’incarner.

Par exemple, supposons qu’un individu ait besoin d’expérimenter le succès, la beauté, l’abondance et la gloire pour évoluer et épurer son karma. Cela signifie que dans son corps causal sont stockées des mémoires qui vont être en résonance avec le succès, la beauté, l’abondance et la gloire. Ces mémoires vont rendre l’âme en incarnation compatible avec les familles en résonance avec le succès, la beauté, l’abondance et la gloire. Au moment de l’incarnation, le corps causal va même définir les gènes à prendre à chaque parent pour favoriser au mieux la beauté et le succès du nouveau né.

Le corps causal dans son action énergétique sur l’ADN va favoriser certains gènes et en inhiber d’autres.

La mémoire cellulaire en résumé

En résumé, l’individu est le point de contact et de fusion entre deux types de mémoires. Les premières sont les mémoires et systèmes d’informations propres à la matière. Ce sont l’ADN et certaines mémoires directement associées que l’on qualifie de mémoires transgénérationnelles. Les secondes sont les mémoires et systèmes d’informations propres à l’âme (ou corps causal) en incarnation… ce sont les mémoires karmiques (ou karma).

III - L’influence héréditaire

Exemple de mémoires transgénérationnelles toxique

Lorsqu’un individu a été abandonné à la naissance, son être tout entier va se construire sur cet abandon. Sa mémoire cellulaire toute entière va s’imprégner de cette blessure d’abandon. De ce fait, si cet individu a des enfants, il est fort possible qu’ils manifestent un syndrome d’abandon. L’éducation qu’ils recevront n’y pourra pas forcément changer grand chose.

Inné et acquis

La mémoire cellulaire définit pour une très large part ce que l’on appelle l’inné et l’inconscient de l’individu. A travers chaque individu se manifeste l’histoire de son lignage. Parfois ce sont des pulsions incontrôlables et pathogènes qui se renforcent de générations en générations. Parfois ce sont des éclairs de génie qui étaient en gestation depuis des siècles dans l’ADN de ses ancêtres.

Il est très fréquent de rencontrer des êtres chez qui la mémoires cellulaire va à l’encontre de leur conscient. C’est ce qui arrive lorsqu’une âme s’incarne, de façon volontaire et pour des raisons karmiques, dans un milieu et avec un ADN qui vont à l’encontre de ses tendances d’âme naturelles. Il résulte souvent de cette situation un système d’auto-sabotage et des désirs constamment contrecarrés par la vie.

Culture et Mémoires transgénérationnelles

La culture dans laquelle évolue un être est le terreau qui façonne sa mémoire cellulaire et lui donne une teinte particulière. Ainsi, par exemple, il existe des cultures très guerrières orientées sur l’usage des armes et le combat. La plupart des individus issus de cette culture auront probablement une aptitude innée au combat et des vertus de courage supérieures à la moyenne. Il pourra néanmoins exister au sein de ce même groupe des individus n’ayant pas hérité de ces mémoires et n’en manifestant pas les caractéristiques. Tout est possible.

Plus la culture ambiante est respectueuse du libre arbitre de l’individu moins les mémoires cellulaires transgénérationnelles et karmiques produites seront toxiques. Pour qu’une âme puisse évoluer au mieux la culture ambiante doit lui fournir deux éléments. Le premier élément, est un cadre affirmé et plongeant dans des racines socio-culturelles millénaires, c’est à dire un ancrage. Le second élément est la liberté d’affirmer ses particularismes à condition que cela ne mette pas en péril sa communauté ou d’autres individus.

IV - Troubles transgénérationnels

Comme nous l’avons vu précédemment, dans la mémoire cellulaire transgénérationnelle sont inscrits une multitude d’informations accumulées au cours des âges. Les traumatismes, les carences, les failles, les secrets des ancêtres y sont codées. Y sont également codées les réussites, les points de force, les qualités développées par les générations précédentes. Ces mémoires transgénérationnelles déterminent une large part des prédispositions favorables et défavorables de l’individu en incarnation.

Nature des troubles

La mémoire cellulaire est constituée chez chaque individu par la fusion de l’ADN et leurs mémoires associées avec les mémoires karmiques. De ce fait, il est naturel que la mémoire cellulaire soit affligée des troubles de l’ADN, des troubles karmiques, et des problèmes liés aux interactions entre les deux.

Troubles transgénérationnels et karma

Avant son incarnation toute âme en choisit les grands axes. Elle choisit les lignes de force et de faiblesse de l’individu qu’elle deviendra le temps d’une vie. Elle choisit les grandes épreuves qu’elle aura a affronter. En résumé, elle définit les éléments qui lui permettront d’accomplir le destin qu’elle s’est choisi pour évoluer. Elle va donc choisir le lignage familiale le plus favorable pour cela. Il n’y a pas de hasard. On pourrait également résumer par l’expression : « Tout est juste ».

Ce sont les mémoires karmiques qui, avant l’incarnation, déterminent l’ADN dans lequel elle vont pouvoir s’exprimer au mieux. Pour cette raison, les troubles transgénérationnels propres à un individu sont toujours et avant tout karmiques. Ce qui signifie que pour les traiter à la source, il convient d’agir avant tout sur le corps causal (l’âme) de l’individu.

V - Malédictions familiales

Malédictions familiales : définition

Les malédictions familiales sont des troubles héréditaires. Elle se caractérisent par la présence généralisée dans un lignage de mémoires cellulaires transgénérationnelles ultra toxiques génératrices de puissants blocages. C’est la récurrence du blocage de génération en génération et son intensité qui définissent la malédiction familiale.

Formes des malédictions familiales

Les problèmes peuvent être physiques. Le lignage donne naissance à des malformations congénitales.

Les blocages peuvent être de types psycho-émotionnels. Tendance pathologiques au contrôle, hyper émotivité maladive, tendance addictives, difficulté d’ancrage, hyper-activité mentale avec angoisse,…

Les malédictions familiales peuvent s’exprimer par une tendance naturelle à reproduire les mêmes schémas de génération en génération. Des lignages avec incapacité à construire une cellule familiale stable. Des lignages familiaux de SDF ou de hors la loi. Des lignages avec mort violentes…etc

VI - Evolution et mémoire cellulaire

Résilience

Suite à un traumatisme, les comportements sont multiples. Certains entreprennent un travail sur eux même pour donner du sens à ce traumatisme. Ils transforment alors le problème en opportunité d’évolution. Ils vont surmonter le traumatisme en développant des qualités et des capacités qui vont les rendre plus forts. Ils développent leur résilience. Dans ce cas, malgré le traumatisme, la mémoire cellulaire transgénérationnelle produite sera massivement bénéfique et protectrice. Toute la descendance pourra en profiter avantageusement.

Processus de refoulement

Pour d’autres, le traumatisme va les réduire au silence, les éteindre, les briser. Ils ne trouvent pas la force ou le courage de faire face. Le problème est enfouis, refoulé, oublié tant bien que mal. Dans ce cas, la mémoire cellulaire s’imprègne fortement du traumatisme. Ses effets deviennent alors héréditaires. On peut alors parler de mémoires transgénérationnelles. C’est ainsi que toute la descendance les portera et les subira plus ou moins fortement. D’un point de vue karmique, l’individu va ancrer la mémoire de cet échec dans son corps causal. Ce qui aura pour effet, dans les vies futures, de reproduire les conditions de cet échec. Cela perdurera jusqu’à ce qu’il trouve un jour, dans une autre vie peut être, le moyen de transformer le traumatisme en opportunité d’évolution.

Vengeance

Pour d’autres encore le traumatisme produira une réaction de vengeance, de colère et de haine. Au mal initial engendré par le traumatisme viendra se greffer plus de mal encore. Une mémoire cellulaire transgénérationnelle toxique imbibée de violence pourra alors commencer à s’infuser sur toute la descendance. Du karma sera également créé sous forme de mémoires karmiques qui viendront charger le corps causal de l’individu en incarnation et assombrir plus encore cette incarnation et ses vie futures.